J'en pince

Qui n’a pas connu la pince à linge qui casse au moment d’épingler, le fond de panier des pinces jonché de cadavres de celles ci…?
Résultat on jette, on rachète, on consomme, là où vraiment, cela peut être évité.
Certes ça ne coûte pas cher me direz vous. Mais personnellement je préfère nettement m’offrir une glace artisanale (oui je sais quel vilain défaut) que de mettre encore de l’argent pour des pinces à linge que je devrais rechanger plus tard.
Pour sortir de cette spirale infernale entrainant avec elle des centaines de « corps » amputés dans la poubelle… il existe un moyen très simple :
Attentiooooooon…
LA PINCE EN BOIS !!!!
OK. Nous sommes loin de l’annonce révolutionnaire… quoique.
Une fois achetées, même démises, l’opération reste simple.
Mon petit kiffe ce sont les pinces qui ne pincent pas, enfin vous savez… mais siiiiiii, celles qui n’ont pas de ressort.
Attendez.

Nan franchement c’est pas trop sympa comme épingle ?
Ce petit côté rétro…
Ça vous rappelle pas quelque chose hein ?

Si toute fois l’une d’entre elle devait céder au temps qui passe et bien c’est direct le compost !
C’est pas beau ça Madame (et Monsieur) ?!
Note à ne pas benner :
Personnellement j’aime avoir les deux types de pinces
(à ressort et sans) :
Celles, sans ressort, sont bien pour les tissus pas trop épais.
Je préfère celles avec ressort, pour les tissus plus épais, comme les ceintures de joggings, les grosses serviettes éponges, les chaussettes d’équitation…
Trucs et astuces :
Je ne jette pas je répaaaaaare…
Je ne consomme pas, j’économise pour des glaces !
J’ai un faible (oui encore un) pour les pieuvre à pince, celles pour étendre les chaussettes et petites culottes.
Je trouve ça très pratique car j’ai horreur d’étendre les petites pièces de tissus. C’est un peu pour moi, comme pour l’essuyage des couverts lors de la vaisselle si vous voulez. Ça m’agace.
Le truc c’est qu’on retrouve un peu le même souci à la longue avec cette petite bête là. Les pinces en plastiques pètent. Alors on laisse trainer et on se contente de faire avec le reste qui tient encore le coup. Jusqu’au jour où on se retrouve à ne pouvoir étendre que 4 chaussettes au lieu d’une vingtaine. Alors… on jette.
Que néni !!! On transforme.
Un bout de ficelle, une pince en bois, un noeud et c’est reparti pour de bon.



A nous les glaces en pagaille !!!!

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